Le Cas’Nard

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• PAPON FUNESTE

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Maurice Papon (3 septembre 1910- 17 février 2007)  suite
  

• LA MEUTE

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Il est vrai que tout candidat à la magistrature suprême s’expose à toutes les formes de critiques, de bonne ou de mauvaise foi, partisanes et objectives, à chaud ou glaciales. Madame Royal n’a donc pas à échapper à cette initiation ou à ce bizutage mais il semble quand même que le flot d’injures que l’on déverse sur elle depuis que l’effet de surprise s’est dissipé, révèle deux maux bien français. D’abord que la prétention de la gauche à accéder au pouvoir reste considérée, dans ce pays, comme globalement (...)  suite
  

• D’ARTAGNAN

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Bayrou monte dans les sondages Parce que Sarko est trop à droite Et que Ségo est maladroite Le Pen est un odieux nuage.
  Monte la sauce béarnaise Sur des élections un peu fades Ou les couteaux et les boutades Tuent les leaders trop à leur aise.
  Dans ce mouvement centripète Il voudrait être le siphon Conciliateur de tous les fronts Il veut gagner et le répète.
  Malgré les défections en masse Vers les cantines du pouvoir L’abbé Bayrou prétend vouloir Rassembler au-delà des classes.
  Foin de colza et de (...)   suite
  

• IRAN GUETTE

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Pour Chirac, la bombe iranienne « n’est pas dangereuse » mais dans le procès contre Charlie Hebdo qui a publié, il y a un an, les caricatures danoises de Mahomet, il envoie son avocat personnel, Maître Szpiner, pour soutenir l’UOIF et la Grande Mosquée de Paris (l’autre avocat s’appelle Maître Bigot, ça ne s’invente pas !). On imagine la conversation en voix off du président français avec le président iranien Ahmadinejad : Chirac : - Je Téhéran un Bitty service et tu m’accordes l’asile politique en mai (...)  suite
  

• CALOMNIEZ, IL EN RESTERA TOUJOURS QUELQUE CHOSE

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  En 1775, dans le Barbier de Séville, Beaumarchais, un expert en affaires un peu louches, fait dire à son personnage Bazile, le conseiller corruptible de l’intrigant Bartholo (acte II, scène 8) :
  « La calomnie, monsieur ! J’ai vu les plus honnêtes gens près d’en être accablés. D’abord un bruit léger, rasant le sol comme l’hirondelle avant l’orage, murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait ; il germe, il (...)   suite