Rien ne « désarçonne » décidément le « Cavaliere », ni le « Noemigate », ni son divorce bruyant et onéreux, ni la publication dans le journal espagnol El Pais de photos compromettantes de fêtes dans sa villa Certosa de Sardaigne, ni les révélations de Patrizia d’Addaria, évoquant sa fréquentation tarifée (2.000 € !) du domicile romain du Président du Conseil en compagnie d’autres call-girls, ni même la dissidence de Gianfranco Fini. Non seulement il remporte son improbable pari de demander un vote de (...)
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