Le Cas’Nard

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• MAI 68

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Sarkozy fait un show à l’américaine à Bercy pour imiter son copain Johnny mais comme lui il ne fait que singer certains hommes politiques américains qui ne savent pas où se trouvent la France et ne connaissent rien à son histoire. L’auteur de la rue-brique (sous les pavés la plage) est particulièrement choqué de cette ignorance absolue de ce qu’a été mai 68 de la part d’un candidat qui veut donner des leçons de francitude. Il ne s’agit pas, comme il le dit, d’un complot de la gauche pour livrer la (...)  suite
  

• SARKOZIE

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Parodie de la chanson d’Alain Chamfort : Paradis  suite
  

• A L’EST DU NOUVEAU, MES REMARQUES

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Quatre-vingt-dix ans après la Révolution russe, Boris Eltsine, le fossoyeur de l’Union Soviétique meurt à Moscou d’une crise cardiaque, et peut-être aussi d’un abus d’alcool, le 23 avril. L’histoire retiendra que cet ancien apparatchik du parti communiste russe fut le premier président démocratiquement élu de la fédération de Russie et une sorte de héros quand, en août 1991, debout sur un char, il fit échouer un putsch des conservateurs. Président pendant huit ans, il se fit remarquer par ses éclats de (...)  suite
  

• C’EST LE BOUQUET

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  On s’était déjà gaussés de voir Doc Gynéco, le rappeur enrobé planant en redressement fiscal, Johnny Hallyday, le belgo-suisse exilé fiscal, Steevy, le lofteur mollusque promu « crithic litérère », Christian Clavier, le visiteur bronzé franchouillard, Jean Reno, le macho au cœur tendre, Alain Delon, le samouraillé, Didier Barbelivien le mélo-man, apporter leur soutien à Sarkozy : une Académie française bis ! On avait compris que Glucksmann, Bruckner, Finkielkraut et Gallo ex-intellectuels de gauche (...)  suite
  

• NOTRE VOTE, L’HEURE

  20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
  Le 22 avril a effacé de nos mémoires le traumatisme du 21 avril. La gauche sera au second tour et Le Pen pourra faire valoir ses droits à la retraite alors que deux quinquagénaires vont maintenant s’affronter pour la « lutte finale ». Sarkozy, à 31,11% a presque réussi à faire oublier qu’il était au gouvernement depuis cinq ans : tout sur le compte de Chirac et son bilan de douze ans : Brutus et César ! Quant à Ségolène que l’on disait incompétente et télégénique (une femme quoi !), elle réussit un score (...)  suite