Le Cas’Nard

Journal de Bernard Martial

© Bernard MARTIAL – août 2014


Le Cas’Nard

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  • CA NE LANTERNE PAS

    20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
    Deux Maliens de Bamako travaillaient au noir à refaire les papiers de La Lanterne, résidence du premier Ministre à Versailles, squattée par deux malins M’sieur et Mame Sarko, deux SDF avec carte de séjour de 5 ans renouvelable. Les Maliens étaient sans papiers ; ils n’ont donc pas pu voter pour l’hôte du logis et sa jolie lotte. Ils seront donc reconduits à la frontière avec en cadeau le disque de Nicadou et Céciliam : Paris Bamako. Honni soit qui Mali (...) suite suite
  • UN SIPHON FOND FOND

    20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
    Le lavabo politique français nouveau est arrivé : convexe à droite, concave à gauche, le modèle de luxe Nico&Sarko PARIS se vide par le centre : Radicaux de gauche, de droite et de la porte arrière, MoDem et nouveau Centre, tout est évacué en un clin d’oeil. La droite triomphante ayant lâché la bonde et rajouté une dose de Destop, l’UDF bayrouiste disparaît dans les canalisations. Un siphon font font les petites marionnettes, 18% et puis s’en (...) suite suite
  • CUISINE ROYALE

    20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
    Non, il ne sera pas question, ici, de Ségolène et des cuisines du PS, ni même de Maurice Leroy et de celles du Centre. L’anecdote concerne, aujourd’hui, le socialiste Patrick Roy assuré d’être réélu dimanche député de la 19e circonscription du Nord (Denain) après le désistement de l’unique autre candidat qualifié pour le second tour, le communiste… Patrick Leroy. Le socialiste est arrivé en tête au premier tour avec 32,82% des suffrages et son quasi-homonyme second avec 21,32% des voix. Mais mardi soir, à (...) suite suite
  • POLAQUE TO THE FUTURE

    20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
    ou quand la réalité rejoint la fiction. suite suite
  • LES CHATIMENTS D’HUGO

    20 novembre 2008, par Bernard MARTIAL
    Dimanche 27 mai 2007, Radio Caracas Television cesse d’émettre, après cinquante-quatre ans d’existence, sur injonction du Président Chavez ; la chaîne est immédiatement remplacée par la TVES qui devrait être plus docile. Deux jours après, alors que de nombreux étudiants manifestent dans les villes contre cette censure, le chef d’état vénézuélien, reprenant en compte l’argument de son ministre de la communication, s’en prend cette fois à la chaîne Globovision en l’accusant d’ « appel subliminal au meurtre (...) suite suite

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