Résister aux vents contraires des aigreurs conjugales Quand les mots cinglent acides au visage Ravivant les peurs,
Céder aux courants abusifs d’un gaz pariétal Qui distille le sidérant mirage Dont rouille le cœur,
S’abîmer au pot aux Noirs du miasme sentimental Au suffocant silence de l’âge Qui souille de sueur,
Chavirer au récif vif des rancoeurs mentales De ces cris transperçant le carnage Humiliant les heures,
Dériver dans les courants d’un déboire d’omphale Des corps ridés par le lent naufrage D’un (...)
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