Il faut que tu te battes contre le vil mal Qui te mange le corps à l’ombre d’un rocher Et revient en ton sein pour mieux te l’arracher, Résiste à son vertige qui t’attire fatal.
C’est si facile à dire de notre état trivial, Quand toi seule à ce front souffre de ce bûcher Mais nos mots sur tes maux ne veulent pas tricher Simplement conjurer l’envahisseur trivial.
Toi, crabe phagocyte, épargne notre amie, Dont on a tant besoin au cœur de l’infamie. Toi, tartine du ciel, prends un peu de notre âge,
Et (...)
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