Personne ne l’a vu dans sa vie, transparent, Tous ceux qu’il écoutait qui ne l’entendaient pas Et ceux qu’il suivait dans l’ombre de leurs pas, Trop respectueux, docile, des esprits effarants.
Comme un coucou sans nid sans aile ni sans œufs Bruissant de ses délits dans les lits des bruants Bruyant dégoût à lente goualante de Bruant Le transparent s’ennuie sans elle ni sans eux.
Personne ne l’a élu à son cœur dépendant Comme dans un roman, sans le moindre débat, Au corps des élans pour joindre les ébats (...)
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