« Aussi loin que je puisse retourner, aux époques où je passais encore debout sous les tables, avant même de savoir qu’ils étaient destinés à faire rire, les clowns m’ont déclenché le chagrin. Des désirs de larmes et de déchirants désespoirs, de cuisantes douleurs, et des hontes de paria. Plus que tout, j’ai détesté les augustes. Plus que l’huile de foie de morue, les bises aux vieilles parentes moustachues et le calcul mental, plus que n’importe quelle torture d’enfance ». S’il déteste autant les clowns qui (...)
suite