:« Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis je m’en charge ».
Nicolas Sarkozy semble avoir fait sien cet aphorisme de Voltaire au lendemain de sa victoire aux présidentielle. Sous le nom ronflant d’ « ouverture », il n’a cessé de débaucher les cadres de la gauche : Eric Besson, Jean-Pierre Jouyet, Bernard Kouchner, Jean-Marie Bockel, Fadela Amara, promus au gouvernement en lieu et place des apparatchiks de l’UMP, Guy Carcassonne et Olivier Schrameck nommés au Comité de réflexion sur la (...)
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