A toi ma chère fille dont j’ai été si proche, Mon Aurélie Yu-Mi, le soleil de ma vie, Qui était l’utopie, la plus belle magie, Mon étoile filante à qui je me raccroche.
A toi, belle douceur qui nous fait des reproches De ne pas te laisser assumer tes envies Comprends que l’on redoute les pièges qui sourient Et qui voudraient rayer ta pureté de roche.
Nous t’avons élevée non pas pour te garder Mais l’on voudrait encore le moment retarder Où tu nous quitteras pour un autre avenir.
Or joli, Aurélie, on veut (...)
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