Le 4 septembre 1942, Paul-Jean Husson, soixante- six ans, homme de lettres, membre de l’Académie française depuis 1933, Prix Renaudot 1934[1], Officier de la Légion d’honneur, Croix du combattant 1914-1918, médaille militaire, mutilé de guerre (il a perdu son bras gauche au front le 16 octobre 1918), résidant à la Villa Némésis 20 quai Verdun à Andigny[2], département de l’Eure, écrit au Sturmbannführer (Commandant) S.S. Hugo Schöllenhammer, Kreiskommandantur 10 avenue Pétain à Andigny, pour dénoncer (...)
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