Ca revient chaque été, dans les publicités, Sur airs d’huile à bronzer, club méditerranée Il a été chanté, dévotion, vanités, Cet astre lumineux, lumière, jour et feu, Qui fait quelques heureux et d’autres miséreux, Il a été de ceux pour qui mouraient les jeux Ce nombril du monde auquel parfois se fondent D’impériales têtes blondes. Mais trop souvent abondent Ces mirages à faconde qui usurpent tes ondes. Sur les pics des Andes, on t’a fait sarabande, On t’a fait des offrandes, Râ, Suriya, légendes. Et tu brûles (...)
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